Quelle que soit leur position sur le globe, les centres urbains ont tous les mêmes caractéristiques à quelques différences près. Trottoirs et terrasses de café encombrés, klaxons, sans compter les innombrables immeubles. Les villes attirent les foules pour diverses raisons, dont l’emploi, la famille, etc. Dans le futur, l’urbanisation fera face à de nombreux défis qui se profilent déjà à l’horizon. De quoi s’agit-il concrètement ?

1. La limitation des ressources

Le siècle dernier a connu une hausse négligeable de la population mondiale. Nous sommes environ près de 7 milliards d’individus sur la planète, et cela risque d’augmenter dans les prochaines années. Une telle croissance démographique a d’énormes répercussions sur la Terre, mais surtout sur les ressources. Elles commencent déjà par se raréfier, et cela risque de s’exacerber dans le futur. Les exemples les plus illustratifs sont :

• les métaux ;
• les combustibles fossiles ;
• les minéraux ; qui ne sont pas renouvelables.

En ce qui concerne les terres, transformer friche en lieu de vie est une solution envisageable pour construire de nouveaux habitats.

2. Le changement climatique

Comme ici, les changements climatiques font également partie des défis auxquels fait face le monde en ce moment. Dans le futur, cela sera encore plus important, car la surconsommation connait une hausse vertigineuse. Pour de nombreux scientifiques, ce phénomène découle des activités humaines durant les cinquante dernières années. Ces modifications liées au climat ne sont pas sans impact sur la qualité de vie des populations.

Des vulnérabilités font et feront encore leur apparition selon les axes suivants :

• l’accroissement des facteurs de stress ;
• la vulnérabilité aux chocs ;
• la capacité d’adaptation.

La position de certaines métropoles les expose plus durement aux changements climatiques. C’est notamment le cas du niveau de la mer, qui peut avoir des conséquences plus énormes.

3. Les inégalités sociales

Plus la démographie connait une hausse, et plus il se crée un fossé entre les différentes classes sociales. On voit ainsi l’éclosion de super-fortunes, qui profitent au mieux du contexte socio-économique. Cette classe sociale accède à des emplois réservés à l’élite, et vit dans le luxe qui caractérise souvent les centres-villes. Il en découle alors des actes de zonages liés à l’exclusion qui se focalisent sur des groupes particuliers.

Ces derniers n’ont pas la possibilité d’accéder à des logements décents, ce qui creuse encore plus le fossé entre les communautés. Les inégalités liées aux revenus donnent également naissance au phénomène des personnes sans domicile fixe. Sans la prise de mesures adéquates, les centres urbains risquent fortement d’être seulement habités par les personnes nanties.

4. La perte de la communauté

Les villes qui ont un certain caractère sont celles qui attirent les habitants. Les exemples les plus parlants sont :

• paris ;
• londres ;
• berlin ;
• etc.

Ces métropoles bénéficient d’une forte attractivité touristique et économique. Ce sont tous ces éléments qui participent à les rendre attachantes. Cela attire de plus en plus de populations qui s’y installent, d’où la perte d’identité de la ville. Les communautés ont un faible sentiment d’appartenance à un ensemble. Les gouvernements ont donc la responsabilité de promouvoir la collectivité, pour limiter l’étalement des villes.